Politique industrielle : l’Europe, victime de la vertu?
L’Europe du marché unique ne joue plus selon les mêmes règles que les économies concurrentes. Dans le contexte actuel, le […]
L’Europe du marché unique ne joue plus selon les mêmes règles que les économies concurrentes. Dans le contexte actuel, le […]
La pénurie de semi-conducteurs inquiète l’économie mondiale dans son ensemble. Il s’agit des composants essentiels des puces électroniques que contiennent
Jeudi 24 décembre, Bruxelles et Londres ont finalement trouvé un accord sur la nouvelle relation commerciale qui les liera après la sortie du Royaume-Uni du marché unique et de l’union douanière prévue le 31 décembre 2020. Il devrait d’abord être entériné provisoirement par le Conseil d’ici à la fin de l’année, avant d’être ratifié par le Parlement européen en février 2021.
Et si le Royaume-Uni et l’Union européenne ne parvenaient pas à un accord d’ici la fin de l’année sur leur future relation ? En France, beaucoup se préparent à un tel scénario. Car l’impact sur certains secteurs, territoires et populations serait loin d’être négligeable.
Réservée, élégante, de petite taille, appliquée plus que brillante, polyglotte mais sans charisme particulier, Ursula von der Leyen ne correspond pas à l’image classique en politique d’une « dame de fer » à la Margaret Thatcher ni même à celle d’une femme de pouvoir dissimulée derrière une figure maternelle comme Angela Merkel.
TRIBUNE. Tout comme le criquet, les géants du numérique restent dans un secteur tant qu’il y a des opérateurs à « manger » puis, quand l’écosystème est pieds et poings liés ou supprimé, ils changent de secteurs, tuant toute véritable concurrence sur leur passage.
Véritable révélateur, la pandémie de la Covid-19 a soulevé de multiples questionnements : sur le sens à donner à la Communauté dite internationale au moment où les frontières se fermaient et ou la tentation du chacun pour soi piétinait les velléités de solidarité, sur les inégalités territoriales et sociales crûment mises en lumière par les confinements, sur le crédit de la parole scientifique et du discours politique, sur les solidarités entre générations et entre les peuples, sur la place de la Nature et notre rapport à l’environnement. Fertile en interpellations, cette crise doit désormais laisser la place au temps fécond des réponses.
Jean Arthuis a pris sa retraite d’eurodéputé lors des dernières élections européennes. Européen de toujours, spécialiste des questions budgétaires, il revient pour Toute l’Europe sur les défis auxquels l’Union européenne est confrontée, et en profite pour esquisser la forme que prendrait un continent avec une ambition mondiale.
Jean Castex s’est défini comme « gaulliste social » lors de sa première intervention de chef du gouvernement. Au-delà de la ligne politique affichée du Premier ministre, la formule est aujourd’hui utilisée dans une posture qui ramène le gaullisme à un centrisme, voire à un macronisme… A l’opposé de la pensée sociale réelle du Général de Gaulle.
Après la Croatie au premier semestre 2020, c’est au tour de l’Allemagne d’assurer la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne du 1er juillet au 31 décembre 2020. De nombreux défis attendent le pays, qui devra notamment parvenir à un compromis autour de la relance de l’économie européenne.